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Les neurosciences théoriques constituent aujourd’hui l’un des champs cardinaux de la recherche en sciences cognitives, et ont participé à l’émergence de la théorie du codage prédictif et de l’hypothèse du cerveau bayésien.

Mon projet de thèse a pour objet principal le concept de service écosystémique, c'est-à-dire "les bénéfices que les humains tirent des écosystèmes". Il désigne par exemple la production de bois et de nourriture, la purification de l’air et de l’eau, ou encore la possibilité d’admirer un beau paysage.

Le sujet de thèse porte sur le rêve comme phénomène mental ou psychologique. La littérature concernée porte donc essentiellement sur les neurosciences cognitives et sur la philosophie de l'esprit contemporaine.

Ma thèse doctorale porte sur ce que les économistes nomment les fondements microéconomiques de la macroéconomie, et les problématiques philosophiques que ceux-ci soulèvent. À savoir celles du réductionnisme et de l’émergentisme.

Notre recherche tente de poser un problème d'ontologie de l'esprit chez Hegel sous la forme de deux questions : 1) En quel sens l'esprit est-il une seconde nature ? 2) Dans quelles mesures la négativité fait-elle appel au mécanisme de l'habitude ?

L’expression de violence légitime doit en partie son succès à une formulation de Max Weber dans Le Savant et le politique. Elle désigne alors le processus par lequel l’institution étatique s’est arrogé exclusivement le moyen de recourir à une contrainte forte afin d’obtenir l’obéissance et de faire respecter les règles du contrat social.

Représenter le monde constituerait l’un des objectifs fondamentaux de la pratique scientifique. Les scientifiques disposent d’un grand nombre de moyens pour donner des représentations relatives au monde parmi lesquels figurent modèles, théories, graphiques, maquettes, équations, propositions et plusieurs d’autres méthodes.

Les profondes évolutions que connaissent nos sociétés depuis les années 1980 – notamment sur les plans économique et technologique – entraînent continûment de nouveaux risques, et l’altération de ceux dont elles ont appris à se prémunir (Ulrich Bech, François Ewald).